prix d’un bien immobilier



Lorsque vient le moment d’estimer la valeur d’un appartement ou d’une maison, certains critères sautent immédiatement aux yeux. Surface, emplacement, vue, état général du bien… Mais, ce n’est pas tout. D’autres facteurs, plus discrets, peuvent aussi influencer significativement le prix de vente. Parmi eux, trois éléments reviennent souvent dans les discussions entre vendeurs et acheteurs : le DPE, le vis-à-vis et le bruit. Ces aspects, parfois sous-estimés, peuvent pourtant faire varier le prix d’un bien de plusieurs milliers d’euros.



Le DPE : un critère désormais incontournable dans le prix immobilier

Depuis quelques années, le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) est devenu bien plus qu’une simple formalité administrative. Il est, aujourd’hui, un véritable critère de valorisation ou de dévalorisation d’un bien. Un logement classé A ou B au DPE, c’est-à-dire économe en énergie, peut se vendre jusqu’à 10% plus cher qu’un bien équivalent classé E, F ou G. À l’inverse, une mauvaise étiquette énergétique peut faire baisser la valeur du bien de 5 à 20%, selon le type de logement et la région.

À Menton ou Roquebrune-Cap-Martin, où le climat doux limite les dépenses de chauffage, l’impact est moins spectaculaire que dans le Nord de la France. Mais, il reste bien réel. Les acquéreurs recherchent, désormais, des biens plus performants, mieux isolés et respectueux de la réglementation énergétique. Pour les propriétaires, améliorer le DPE avant la vente est donc un investissement maîtrisé. En effet, il peut augmenter la valeur du bien et accélérer la vente.

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Le vis-à-vis : un facteur psychologique et économique important

Le vis-à-vis influence directement la perception de confort et d’intimité, deux critères essentiels pour un acheteur. Un appartement exposé aux regards d’un immeuble voisin ou d’une rue passante sera souvent perçu comme moins agréable à vivre. Cette impression se traduit immédiatement dans la négociation. Le prix peut être revu à la baisse de 5 à 15%, selon l’importance du vis-à-vis et la qualité de la vue.

À Menton, où la lumière et la vue font partie intégrante du charme immobilier, l’impact est particulièrement marqué. Un bien sans vis-à-vis, exposé Sud ou offrant une vue dégagée sur la mer ou les collines, se vend plus rapidement et à un prix nettement supérieur.

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Le bruit : un élément décisif pour les acheteurs exigeants

Parmi les facteurs qui influencent le prix immobilier, le bruit occupe une place grandissante. Les acheteurs recherchent, aujourd’hui, un cadre de vie calme. Et c’est encore plus vrai sur la Côte d’Azur, où le repos et la sérénité font partie intégrante de l’art de vivre. Un logement situé près d’un axe routier, d’une voie ferrée ou d’un bar animé peut voir sa valeur diminuer de 5 à 20%, selon le niveau de nuisance et la qualité de l’isolation phonique. À l’inverse, un bien calme, exposé côté cour ou en étage élevé, bénéficie d’une vraie prime à la tranquillité.

Les biens les plus prisés à Menton sont ceux qui combinent vue dégagée, absence de bruit et exposition lumineuse. Ces trois atouts qui se traduisent directement dans les estimations immobilières gratuites d’Édouard VII. Si votre logement souffre de nuisances sonores, plusieurs solutions existent : fenêtres à double vitrage, portes isolantes, revêtements absorbants, ou encore plantes sur le balcon pour atténuer les sons. De petites améliorations peuvent réduire le ressenti acoustique et préserver la valeur du bien.



Impact du DPE, du vis-à-vis et du bruit sur le prix immobilier : comment le mesurer ?

Pour un vendeur, évaluer l’impact du DPE, du vis-à-vis et du bruit sur le prix immobilier n’est pas toujours simple. Ces éléments relèvent à la fois de critères techniques et de perception. Deux appartements de même surface peuvent afficher une différence de valeur de plusieurs dizaines de milliers d’euros selon leur niveau de confort global. C’est là qu’intervient l’expertise de nos agents immobiliers Édouard VII.

Nos conseillers réalisent des estimations sur mesure, prenant en compte non seulement les données du marché, mais aussi les atouts et les contraintes réelles du bien. Un DPE favorable, une exposition agréable ou un environnement paisible peuvent compenser un vis-à-vis léger. Par contre, un bruit récurrent ou une mauvaise isolation peuvent nécessiter un ajustement du prix de vente.

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Conclusion

Le DPE, le vis-à-vis et le bruit influencent bel et bien la valeur d’un bien immobilier. Pour autant, leur impact dépend toujours du contexte et de la façon dont ces caractéristiques sont gérées. Une estimation juste, une présentation honnête et quelques améliorations ciblées peuvent transformer une contrainte en simple détail. Contactez Édouard VII pour obtenir une évaluation précise et transparente de votre bien à Menton ou Roquebrune-Cap-Martin. En plus, nous vous dirons comment optimiser sa valeur sur le marché.

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